À New-York, chant du chauffeur de taxi / Willi Tokarev (traduction d'Al. Kiriyatskiy) - ÉG.

Аватар автора
Александр Кирияцкий
À New York, chant du chauffeur de taxi Déjà, j’habite en Amérique pendant quatre ans Et j’ai vécu dans toutes ses villes fameuses, sans mœurs. Je ne sais pas son peuple libre cependant. À mon futur me persécute ma force peur, Où j’ai connu rapide cette existence triste. Par tout, ta croûte de pain nous fait trop labourer. Ici, bien vivent seuls les banquiers et les ministres. Sur tous d’ici, n’importe quel fait éternuer. Par là, je suis venu chaud de ma Soukhoumi. Ma profession est le voleur du Grand Kaukaze. Plutôt sécher l’homme aux déserts qu’être soumis À la condamnation honteuse en autre base. J’ai essayé de devenir riche doucement, J’allais aux poches de ma spécialité voleuse. Était l’aire inconnue. Craintivement, Ma main adroite tombait bien ennuyeuse. J’ai fatigué de fréquenter les poches sans code. Un jour, j’avais voulu voler plus d’un million. Les policiers m’ont mis leurs vites menottes. Aux criminels, j’étais transmis à la prison. J’ai invité deux avocats très éminents. Parfois, l’on justifie le diable pour l’argent: Je suis sorti pur. Innocent j’étais vraiment. Sans liberté, un siècle passe ou face serment. J’ai décidé de rejeter l’or du chacal. Je me suis dit: «Ne prie jamais pour tous aussi!» Mais ma conscience m’a soufflé: «Le sens moral Pouvait gagner un peu, conduire notre taxi.» J’ai commencé à m’occuper de ce labeur. Comme un jocrisse, j’ai travaillé de l’aube à l’aube. Un jour, l’honneur du vieux voleur a vu ce cœur, Et je me suis craché...

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